Pas recherché en dermatologie, l’effet photoablatif d’un laser nécessite des photons très énergétiques (longueur d’onde inférieure à 300 nm), avec des impulsions extrêmement courtes (de 10 ns à 100 ns). Il induit une ablation pure du tissu sans lésion thermique. En raison des très courtes longueurs d’onde, le champ électrique associé à l’onde lumineuse est suffisamment puissant pour rompre les liaisons intermoléculaires et casser les composants tissulaires qui sont ainsi gazéifiés, sans libération de chaleur sur les berges.
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