Biologie de la peau

Editorial

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Le site est ouvert aux contributions extérieures. De jeunes doctorants ont pu ainsi rédiger certains des articles sur la base de leur chapeau de thèse.
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Ce site, qui a franchi les 2 millions de visites, n’existerait pas si le centre de recherche en dermatologie de Sophia Antipolis n’avait pas été créé par L’Oréal et Nestlé à une époque où leurs dirigeants n’avaient pas une vision purement mercantile mais également l’ambition de développer nos connaissances dans le domaine de la biologie de la peau et de la dermatologie.

 

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La cellule de Merkel

mardi 25 janvier 2011 par Michel Démarchez

Les cellules de Merkel   ont été décrites pour la première fois en 1875 par l’anatomiste allemand Friedrich Sigmund Merkel et se situent dans la couche basale de l’épiderme   et au niveau du bulge dans les follicules pileux. Les cellules de Merkel sont des mécanorécepteurs à adaptation lente de type I responsable de la sensation tactile fine qui détectent par leur microvillosités les déformations localisées, proches d’eux et qui libèrent des neuromédiateurs vers les fibres nerveuses. Chez l’adulte, le pourcentage de cellule de Merkel varie de 0,5 à 5% dans l’épiderme mais varie au cours de la vie et selon les régions du corps. Au sein de l’épiderme, les cellules de Merkel sont des acteurs-clés du système neuro-endocrino-immuno-cutané. Elles envoient des prolongements dendritiques entre les kératinocytes   et les cellules de Langerhans   et peuvent former des synapses avec des neurones sensoriels mais ne sont pas toujours associées à des nerfs. L’origine, épidermique ou neuronale, des cellules de Merkel a longtemps fait l’objet de controverses.



Le modèle de la peau humaine greffée sur la souris « nude »

jeudi 30 décembre 2010 par Michel Démarchez

L’étude de la biologie de la peau humaine et plus particulièrement celle de sa régénération ou de sa cicatrisation se révèle difficile pour des raisons éthiques évidentes. Au cours de ces trente dernières années, diverses méthodes permettant de contourner cet obstacle ont été développées. Parmi celles-ci, la culture in vitro d’explants de peau humaine ou celle de cellules épidermiques humaines directement sur matière plastique a été largement utilisée. La reconstruction de la peau humaine, réalisée en cultivant des cellules épidermiques dissociées sur divers substrats tels que des dermes humains morts ou vivants, des équivalents de derme, des gels de collagène a fait l’objet d’un grand nombre de travaux qui sont décrit dans la rubrique : Reconstruction « in vitro » de la peau. Toutefois, les équivalents de peau obtenus, bien que déjà très sophistiqués, ne sont encore que des copies grossières de la peau « in situ ». La transplantation de la peau humaine sur la souris nude ou sur la souris SCID est une autre approche qui permet d’étudier la peau humaine et un certain nombre de ses fonctions dans des conditions physiologiques très proches de celles existant « in situ ».



Régénération de l’épiderme de la peau humaine après transplantantation sur la souris « nude »

La différenciation des kératinocytes

lundi 27 décembre 2010 par Michel Démarchez

Après transplantation de la peau humaine sur la souris « nude », en raison du délai nécessaire à la revascularisation, l’épiderme souffre et dégénère en grande partie. Histologiquement, seule la couche basale semble se maintenir tandis que les cellules suprabasales montrent de nombreux signes de dégénérescence et forme finalement une couche morte. Avec le retour du lit vasculaire nourricier, un nouvel épiderme pluristratifié est reconstruit à partir des cellules basales survivantes et les différentes couches classiquement décrites dans un épiderme humain peuvent de nouveau être observées.



Régénération de l’épiderme de la peau humaine après transplantantation sur la souris « nude »

Les cellules de Langerhans et leur capacité à proliférer

dimanche 26 décembre 2010 par Michel Démarchez
Décrites par Paul Langerhans en 1868, les cellules de Langerhans sont des cellules dendritiques qui ont un aspect clair dans les coupes histologiques en paraffine. Elles constituent deux à trois pour cent de la population cellulaire épidermique et sont préférentiellement situées en position (...)


Régénération de l’épiderme de la peau humaine après transplantantation sur la souris « nude »

Les mélanocytes et les cellules de Merkel

mardi 14 décembre 2010 par Michel Démarchez
Sommaire Les mélanocytes Les cellules de Merkel Les mélanocytes Les mélanocytes sont les cellules qui produisent le pigment de la peau, la mélanine . Ceux sont des cellules dendritiques localisées dans la couche basale de l’épiderme


La régénération de la jonction dermo-épidermique et du derme de la peau humaine après transplantantation sur la souris « nude »

lundi 13 décembre 2010 par Michel Démarchez
Sommaire La jonction dermo-épidermique Le derme La jonction dermo-épidermique Deux mois après la greffe, la jonction dermo-épidermique de la peau humaine transplantée montre la même organisation ultrastructurale que celle qui est observée dans une peau humaine (...)


CV M Démarchez

lundi 7 juin 2010 par Michel Démarchez

M Démarchez, qui est le créateur de ce site Web, a 30 ans d’expérience de recherche en dermatologie et cosmétique active dont 23 ans dans la recherche pharmaceutique,
12 ans en gestion de projet, 10 ans en gestion des alliances et 7 ans en direction de la Recherche. Il a travaillé pendant 23 ans au sein de Galderma, le leader en dermatologie, où il est entré comme chercheur junior pour devenir finalement directeur du département Recherche. Il a également été consultant sur la peau au centre de Recherche Nestlé. Il a focalisé sa recherche sur la peau et ses domaines d’étude ont été, plus particulièrement, l’embryologie, la cicatrisation   et la reconstruction de la peau, l’immuno-dermatologie, et la pharmacologie de la peau.



Les différents types de peau reconstruite « in vitro »

samedi 8 mai 2010 par Michel Démarchez

Article à écrire. Voir références



L’analyse par immunofluorescence indirecte

mercredi 24 mars 2010 par Michel Démarchez
Cette méthode tire profit de la propriété que possède un anticorps de se lier, de façon très spécifique, à l’antigène qui a suscité sa synthèse par les lymphocytes B. Elle permet de déterminer la localisation de cet antigène dans un tissu et donc, si celui-ci est associé à un certain type de cellule ou à un (...)

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